Jean Bordé : contrebasse
Gilles Broussaud : danse
Bertrand Denzler : saxophone ténor
Antonin Gerbal : percussions
Catherine Karako : danse
Jean-Sébastien Mariage : guitareFrédéric Marty : contrebasse
Pascal Marzan : guitare
Joris Rühl : clarinette, clarinette basse
Jean Bordé
Après des études de piano au cours desquelles il découvre l'improvisation auprès de Keith Tippett à 15 ans, Jean Bordé se tourne vers la contrebasse. Il étudie la musique classique et contemporaine à l'Ecole Normale de Musique de Paris, apprend le jazz avec Jacques Vidal, puis se spécialise en tango avec Juan Jose Mosalini au CNR de Gennevilliers.
Mais son attirance pour l'abstraction et l'exploration des timbres qu'offrent l'archet, l'amènent vers un travail axé sur l'improvisation sous toutes ses formes, du free jazz à l'improvisation libre issue de la musique contemporaine ou bruitiste, lui permettant d'amener la contrebasse à sonner de manière indépendante de sa facture classique.
Depuis quelques années, Jean Bordé est un acteur actif de la musique improvisée à Paris, par les performances et son engagement dans sa diffusion. Il collabore aussi fréquemment avec d'autres expressions artistiques, ainsi les danseurs de Butô Atsushi Takenouchi ou Ayako Kato, le théâtre, les arts plastiques et comme compositeur de film (Ecole des Arts Audiovisuels du Fresnoy, festival de Rotterdam, Forum des Images).
Il joue régulièrement avec Dan Warburton, Jean-Sébastien Mariage, Bertrand Denzler, Thierry Madiot, Frédéric Blondy, Sharif Sehnaoui, Pascal Battus, Quentin Bubost, Marc Baron, Stéphane Rives, Edward Perraud, mais aussi à l'occasion avec Hans Koch, Seiji Murayama, Boris Baltschun, Alexandre Bellenger, Margrit Rieben, Charlotte Hug, Jack Wright, Hans Tammen, Ramon Lopez...
Gilles Broussaud, « le randonneur »
Né en 1955,
Bertrand Denzler
Since the late 90s, improvised music with working bands like Trio Sowari . Hubbub Baron.Denzler.Guionnet.Rives . Chamæleo Vulgaris . 49° Nord
Catherine Karako
Guitares électrique et acoustique
Au delà de quelques illustres guitaristes (amplifiés) qui ont marqué l’histoire du jazz, le grand développement des qualités sonores de la guitare électrique fut initié en majeure partie par des guitaristes de rock, le plus souvent aux travers d’expériences inconscientes et non préméditées. Mais les possibilités que ces musiciens ont révélées sont aujourd’hui consciemment élargies par un grand nombre de guitaristes d’avant-garde qui ne peuvent être assimilés ni au rock, ni au jazz, ni vraiment aux musiques électroniques, mais qui se trouvent au centre du développement et des préoccupations de toutes ces formes musicales, avec comme point d’ancrage : l’improvisation. Jean-Marc Montera, Stephan Wittwer et aujourd’hui Jean-Sébastien Mariage font, entre autres, partie de cette famille de musiciens qui perpétuent le défrichage et qui d’une manière ou d’une autre, au travers de nouvelles techniques ou de nouveaux matériaux font évoluer l’instrument, le transcendent, l’ouvrent à des sonorités inattendues, à des musiques insoupçonnées. De Hendrix à Bailey, la guitare électrique est devenue un instrument susceptible d’une remise en question d’idées préconçues sur la nature réelle de la musique et du son et sur ses véritables fonctions tant artistiques que politiques.
Théo Jarrier
Un son imposant, une disto mordante, des attaques stridentes et massives, des ruptures vivantes, des matières quasi-tactiles. La preuve qu’il y a encore et toujours à faire avec cet instrument à cordes.
Jérome Noetinger
Pascal Marzan
Après des études de guitare classique consacrées essentiellement au répertoire du XX ème siècle puis l'enseignement de la guitare dans plusieurs écoles de musique de Budapest en Hongrie et en France, il se dédie à l'improvisation libre.
Son approche de la guitare se caractérise par la recherche de nouvelles sonorités incluant trois modes de jeux distincts :
- technique préparée/bruitiste : (cutter, aiguilles à tricoter, cylindres métalliques, frottements, sourdines, bottleneck... pour des sons indéfinissables et sonorités de cimbalom, gamelan, gongs, koto ..."
- technique flamenca : rasgueados et golpes....
- technique classique du répertoire du XX ème siècle
Joris Rühl
Parallèlement à sa formation de musicien classique dans la classe de Jacques Di Donato au CNSMD de Lyon, Joris Rühl s'est toujours intéressé à d'autres expressions musicales.
Les musiques improvisées et les performances: il se produit dans des festivals comme "Moers festival 08 et 09", "Jazz à Luz", "Fruits de Mhère", "Frischzelle" etc. en compagnie de musiciens tels que Lê Quan Ninh, Michel Doneda, Thomas Lehn, Carl-Ludwig Hübsch, Kim Myhr, Eivind Lønning, Eric Carlsson, Clare Cooper, Emmanuel Scarpa, Nils Ostendorf, Anthony Pateras, Joel Grip, Eve Risser etc., il prend part à des performances aux Subsistances à Lyon, à Hundert Grad à Berlin, joue en duo avec la danseuse Bérengère Valour à la force de l’art 02 (au Grand Palais à Paris)…
La musique contemporaine – il est sollicité par des ensembles tels que "l'instant donné"(Paris), Hiatus (Cologne) ou "United instruments ofLucilin" (Luxembourg). Il a eu l'occasion de travailler avec des compositeurs tels que Michael Jarell, Daniel D’Adamo, MalikaKishino, Karl Naegelen…
La musique associée à l'image d'une façon générale, avec divers projets de vidéos et d'installations qu'il conçoit dans leur ensemble ou pour lesquels il créé la musique. Dans ce cadre, il fait également partie du réseau d'artistes Timeart Ensemble basé à Cologne et qui promeut des manifestations multimédias.
Pascal Marzan : guitare
Joris Rühl : clarinette, clarinette basse
La scène du Canal 116 Quai de Jemmapes 75010 Paris (Canal St Martin - Gare de l'Est)
Biographies
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| Jean Bordé |
Après des études de piano au cours desquelles il découvre l'improvisation auprès de Keith Tippett à 15 ans, Jean Bordé se tourne vers la contrebasse. Il étudie la musique classique et contemporaine à l'Ecole Normale de Musique de Paris, apprend le jazz avec Jacques Vidal, puis se spécialise en tango avec Juan Jose Mosalini au CNR de Gennevilliers.
Mais son attirance pour l'abstraction et l'exploration des timbres qu'offrent l'archet, l'amènent vers un travail axé sur l'improvisation sous toutes ses formes, du free jazz à l'improvisation libre issue de la musique contemporaine ou bruitiste, lui permettant d'amener la contrebasse à sonner de manière indépendante de sa facture classique.
Depuis quelques années, Jean Bordé est un acteur actif de la musique improvisée à Paris, par les performances et son engagement dans sa diffusion. Il collabore aussi fréquemment avec d'autres expressions artistiques, ainsi les danseurs de Butô Atsushi Takenouchi ou Ayako Kato, le théâtre, les arts plastiques et comme compositeur de film (Ecole des Arts Audiovisuels du Fresnoy, festival de Rotterdam, Forum des Images).
Il joue régulièrement avec Dan Warburton, Jean-Sébastien Mariage, Bertrand Denzler, Thierry Madiot, Frédéric Blondy, Sharif Sehnaoui, Pascal Battus, Quentin Bubost, Marc Baron, Stéphane Rives, Edward Perraud, mais aussi à l'occasion avec Hans Koch, Seiji Murayama, Boris Baltschun, Alexandre Bellenger, Margrit Rieben, Charlotte Hug, Jack Wright, Hans Tammen, Ramon Lopez...
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| Gilles Broussaud, le randonneur |
Gilles Broussaud, « le randonneur »
Né en 1955,
Formé dès son plus jeune âge au raisonnement abstrait il poursuit de longues études et obtient finalement un diplôme de deuxième cycle en logistique spéculative appliquée à l'université Paris VI Pierre et Marie Curie en 1981. Depuis soucieux de préserver l'environnement et en harmonie de sa robuste constitution il se consacre à la randonnée pédestre sur tout terrain avec prédilection pour les alpes. Il aime vadrouiller !
Artistiquement impliqué dans la scène d'improvisation il présente régulièrement des performances axées sur l'immobilité aussi bien que le mouvement tout en énonçant de fortes sentences relatives au dépérissement des mœurs et du sentiment esthétique.
Occupe avec Catherine Karako un espace poétique performatif axé sur la réécriture/lecture de l'Anti-Oedipe (Deleuze/Guattari) en boogi-boulga (rewrite/cut up), et bien d'autres textes encore ;
On dit qu'il fait aussi de la peinture, quoique ses travaux ne soient guère visibles.
Signe particulier : n'a pas été chez le coiffeur depuis 32 ans. (il se les coupe lui-même).
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| Bertrand Denzler Photo Gérard Rouy |
Since the late 90s, improvised music with working bands like Trio Sowari . Hubbub Baron.Denzler.Guionnet.Rives . Chamæleo Vulgaris . 49° Nord
musicians such as Sophie Agnel . Marc Baron . Pascal Battus . Burkhard Beins . Frédéric Blondy . Xavier Charles . David Chiesa . Angharad Davies . Michel Doneda . Axel Dörner . Benjamin Duboc . Quentin Dubost . Phil Durrant . Basile Ferriot . Frédérick Galiay . Bertrand Gauguet . Jean-Luc Guionnet . Hans Koch . Toshihiro Koike. Kazushige Kinoshita . Didier Lasserre . Urs Leimgruber . Thierry Madiot . Jean-Sébastien Mariage . Mattin . Günter Müller . Seijiro Murayama . Lê Quan Ninh . Masahiko Okura . Edward Perraud . Hasse Poulsen . Stéphane Rives . Christine Sehnaoui . Sharif Sehnaoui . David Stackenäs . Taku Unami . Nikos Veliotis . Dan Warburton . Mark Wastell . Christian Weber . Matthieu Werchowski . Christian Wolfarth a.m.o.
sculptor Caroline Pouzolles . performer and poet Ly Thanh Tiên . dancer Yukiko Nakamura and solo
sculptor Caroline Pouzolles . performer and poet Ly Thanh Tiên . dancer Yukiko Nakamura and solo
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| Antonin Gerbal |
Antonin Gerbal
Antonin Gerbal (1986-) is a french drummer/improvisor based in Paris. His main projects are "Peeping Tom" (Pierre-Antoine Badaroux, Axel Dörner and Joel Grip), "R.mutt" (with Badaroux and Sébastien beliah), "ZOOR" (with Bertrand Denzler and Jean-Sébastien Mariage). He is also co-founder of Umlaut France, and co-organized festivals and concerts in Paris. He is also a teacher of philosophy.
Antonin Gerbal (1986-) is a french drummer/improvisor based in Paris. His main projects are "Peeping Tom" (Pierre-Antoine Badaroux, Axel Dörner and Joel Grip), "R.mutt" (with Badaroux and Sébastien beliah), "ZOOR" (with Bertrand Denzler and Jean-Sébastien Mariage). He is also co-founder of Umlaut France, and co-organized festivals and concerts in Paris. He is also a teacher of philosophy.
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| Catherine Karako |
Catherine Karako
dès l'âge de 5 ans, elle est ramasseuse de balles de ping-pong, puis habilleuse dans Disney on Ice : elle remonte les fermetures éclairs. Dans la foulée elle part danser le French cancan à Colombo, Sri Lanka.
Danseuse folklorique elle danse dans les mariages juifs avec la troupe a'eleh.
Engagée chez Magui Marin en tant que danseuse, elle publie son premier recueil de poésie aux éditions « Librairie Galerie Racine ». Après quelques expos photos, elle crée « les Gorgories » installation vidéo danse, musique jouée entre autres à la R de Choc où elle est aussi barman, cuisinière, producteur... Se prend pour Lady Mac Beth, P. Guyotat, Maïakovski, visite J. Lacan, F. Guatari, G. Deleuze, dans capitalisme et schizophrénie ; se produit dans les Ciné Perf.
Enfin depuis 2008, elle est Zaoum girl avec Gilles Broussaud et les Zaoum Construction.
Jean-Sébastien Mariage  |
| Jean-Sébastien Mariage |
Guitares électrique et acoustique
Au delà de quelques illustres guitaristes (amplifiés) qui ont marqué l’histoire du jazz, le grand développement des qualités sonores de la guitare électrique fut initié en majeure partie par des guitaristes de rock, le plus souvent aux travers d’expériences inconscientes et non préméditées. Mais les possibilités que ces musiciens ont révélées sont aujourd’hui consciemment élargies par un grand nombre de guitaristes d’avant-garde qui ne peuvent être assimilés ni au rock, ni au jazz, ni vraiment aux musiques électroniques, mais qui se trouvent au centre du développement et des préoccupations de toutes ces formes musicales, avec comme point d’ancrage : l’improvisation. Jean-Marc Montera, Stephan Wittwer et aujourd’hui Jean-Sébastien Mariage font, entre autres, partie de cette famille de musiciens qui perpétuent le défrichage et qui d’une manière ou d’une autre, au travers de nouvelles techniques ou de nouveaux matériaux font évoluer l’instrument, le transcendent, l’ouvrent à des sonorités inattendues, à des musiques insoupçonnées. De Hendrix à Bailey, la guitare électrique est devenue un instrument susceptible d’une remise en question d’idées préconçues sur la nature réelle de la musique et du son et sur ses véritables fonctions tant artistiques que politiques.
Théo Jarrier
Un son imposant, une disto mordante, des attaques stridentes et massives, des ruptures vivantes, des matières quasi-tactiles. La preuve qu’il y a encore et toujours à faire avec cet instrument à cordes.
Jérome Noetinger
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| Fred Marty photo Guy Sitruc |
D’origine girondine, Fred Marty a développé son expérience de compositeur et de musicien au sein d’univers musicaux très variés . Son parcours atypique l’a amené depuis 2007 à Paris, où il s’attache à expérimenter et à orienter son travail vers la ou les musiques improvisées.Actuellement , il prépare la sortie d'un album solo à la contrebasse.
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| Pascal Marzan Photo Catherine Karako |
Pascal Marzan
Après des études de guitare classique consacrées essentiellement au répertoire du XX ème siècle puis l'enseignement de la guitare dans plusieurs écoles de musique de Budapest en Hongrie et en France, il se dédie à l'improvisation libre.
Son approche de la guitare se caractérise par la recherche de nouvelles sonorités incluant trois modes de jeux distincts :
- technique préparée/bruitiste : (cutter, aiguilles à tricoter, cylindres métalliques, frottements, sourdines, bottleneck... pour des sons indéfinissables et sonorités de cimbalom, gamelan, gongs, koto ..."
- technique flamenca : rasgueados et golpes....
- technique classique du répertoire du XX ème siècle
Il joue et enregistre avec le quartet TPRP avec le violoniste Phil Wachsmann, le contrebassiste finlandais Teppo Hauta-Aho, le batteur Roger Turner ; les duos de guitare avec John Russell (“Translation” Emanem) et avec Roger Smith (“Two Spanish Guitars” Emanem) ; “Prendre le Large” avec Fred Wallich (dvd + cd label Vouïr).
Il joue régulièrement avec Steve Beresford, Teppo-Hauta-Aho, Simon Fell, les trios Aka_Bondage/Lelièvre/Marzan, AFP mais aussi avec le Steve Beresford Ensemble pour les « Graffiti Composition » de Christian Marclay avec John Butcher, Alan Tomlinson, Angharad Davies, Hannah Marshall, John Edwards, Rhodri Davies, Orphy Robinson, Aref Durvesh.
Le Recording Angel Ensemble (A. Kolkowsky, S. Mathieu, Z. Karkowski, U. Wasserman, S. Buczek, F. Luce, Appartment House Trio) pour le Manuscrit trouvé à Saragosse de W. Has. Le London Improvisers Orchestra....
Des performances avec des danseurs, poètes et plasticiens, pour le cinéma muet.
Depuis 2004, il organise les rencontres R-de-Choc à l’Espace Jemmapes.
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| Joris Rühl |
Joris Rühl
Parallèlement à sa formation de musicien classique dans la classe de Jacques Di Donato au CNSMD de Lyon, Joris Rühl s'est toujours intéressé à d'autres expressions musicales.
Les musiques improvisées et les performances: il se produit dans des festivals comme "Moers festival 08 et 09", "Jazz à Luz", "Fruits de Mhère", "Frischzelle" etc. en compagnie de musiciens tels que Lê Quan Ninh, Michel Doneda, Thomas Lehn, Carl-Ludwig Hübsch, Kim Myhr, Eivind Lønning, Eric Carlsson, Clare Cooper, Emmanuel Scarpa, Nils Ostendorf, Anthony Pateras, Joel Grip, Eve Risser etc., il prend part à des performances aux Subsistances à Lyon, à Hundert Grad à Berlin, joue en duo avec la danseuse Bérengère Valour à la force de l’art 02 (au Grand Palais à Paris)…
La musique contemporaine – il est sollicité par des ensembles tels que "l'instant donné"(Paris), Hiatus (Cologne) ou "United instruments ofLucilin" (Luxembourg). Il a eu l'occasion de travailler avec des compositeurs tels que Michael Jarell, Daniel D’Adamo, MalikaKishino, Karl Naegelen…
La musique associée à l'image d'une façon générale, avec divers projets de vidéos et d'installations qu'il conçoit dans leur ensemble ou pour lesquels il créé la musique. Dans ce cadre, il fait également partie du réseau d'artistes Timeart Ensemble basé à Cologne et qui promeut des manifestations multimédias.
